header-banner-image

Actualité

DéFI

pourHUY

Actualité

14/02/2016

QUADRILATÈRE : POURHUY A TOUJOURS ÉTÉ OPPOSÉ AU PRIX DE VENTE

Suite aux perquisitions de la semaine dernière à la maison communale et à l'office du tourisme concernant la vente du quadrilatère et le marché de la patinoire, de nombreux articles ont été publiés. Nous avons demandé un rectificatif à L'Avenir car nous estimions que les propos repris dans un article en particulier n'étaient pas corrects.

blog-image

POURHuy l'affirme : le groupe politique fondé par Anne-Marie Lizin s'est toujours opposé à la vente du Quadrilatère.

Mardi, on apprenait que la semaine précédente, la brigade financière de la police judiciaire de Huy perquisitionnait les bureaus de l'hôtel de ville et de l'Office du tourisme. Ces perquisieions font suite à une plainte qui date de 2015 et qui porte sur la vente du Quadrilatère par la ville au promoteur en charge désormais d'aménager des appartements et des commerces dans l'ancien Athénée. La plainte épinglait le prix de la vente du bâtiment. La Ville avait en effet négocié cette vente pour 100€ symboliques en 2012 alors que le collège l'avait inscrite au budget extraordinaire 2011 pour 1,2 million. Arguments alors donnés par la Ville, et son échevin des Finances de l'époque Philippe Charpentier : "c'était impossible" de le vendre pour 1,2 million "pour les investisseurs tant le niveau de leur investissement est déjà important". Et cette vente à prix plus que bradé, le groupe POURHuy s'y est toujours opposé. Ce que nous omettions de préciser dans notre article de ce mercredi 10 février. "C'est bien POURHuy qui a toujours voté "contre" et qui a eu des rencontres avec les riverains" note Sergio Taronna, responsable de la communication POURHuy. Grégory Vidal ajoute : "Dès le début, et avant les élections de 2012, Anne-Marie Lizin a voté contre la vente à 100€. On a d'alleurs mené différentes actions. Et elle a même été en recours au Conseil d'Etat en tant que riveraine (NDLR, en tant que propriétaire du bâtiment qui abritait autrefois le restaurant L'Oreille Cassée, non loin du Quadrilatère)." Tous les recours ont été repoussés. Ici, c'est d'une plainte dans les mains d'un juge d'instruction dont il s'agit et qui a débouché sur ces perquisitions. Grégory Vidal ajoute : "Quand il a été question de la vente d'une bande de 60 centimètres qui sert d'évacuation au parking du Quadrilatère, on s'y est aussi opposés. J'avais même fait remarquer au collège, à l'époque, qu'il la vendait dix fois plus cher que tout le Quadrilatère..." C.Du

blog-image